La direction du groupe allemand Continental a annoncé début août qu‘elle étudiait la possibilité de scinder le groupe en deux entités, en donnant notamment plus de visibilité et d’indépendance à la division pneus et plastiques, la plus rentable du groupe à ce jour.
Comme la plupart des équipementiers automobiles, Continental pâtit des conséquences de la « transition électrique » imposée à marche forcée à ce secteur industriel, transition qui par ailleurs subit un ralentissement du marché.
Selon certains observateurs économiques, cette séparation pourrait également permettre à Continental d’introduire la partie approvisionnement automobile en Bourse.