La Carrosserie Vincent présente son porte-vélos pour autocar

La Carrosserie Vincent présente son porte-vélos pour autocar

Pour répondre aux besoins des usagers et aux évolutions de l’intermodalité vélos/car, la Carrosserie Vincent a développé un porte-vélos adapté.

 

Le porte-vélos Vincent, qui permet l’emport de cinq vélos, répond ainsi aux exigences de la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM), et permet de fixer un vélo en 12 secondes sans effort. Une assistance d’autant plus appréciée et utile avec les modèles particulièrement lourds que sont devenus les vélos électriques.

 

Il peut accueillir jusqu’à cinq vélos.

 

Ce porte-vélos est conçu et assemblé dans la Drôme (26) avec des matériaux recyclables à plus de 95% et tous les fournisseurs sont de la région Auvergne Rhône-Alpes. Selonses promoteurs, l’assistance mécanique ne nécessite que très peu d’entretien car il n’y a aucun composant électrique ou pneumatique.

 

Côté utilisateur, un espace confortable a été prévu pour limiter les contacts entre vélos lors du chargement et du déchargement. Ainsi que des poignées de préhension ergonomiques. Et pour sécuriser le vélo il y a des anses prévues pour la fixation d’antivols.

 

Il dispose d’une assistance mécanique qui facilite son usage.

 

Expérimenté par Transdev sur la ligne ZOU n°915 entre Apt et Avignon, il a fait l’objet d’une vidéo dans laquelle sont recueillis les témoignages des usagers.

Lecture de rentrée

Lecture de rentrée

André Broto, ancien élève de l’École polytechnique et ingénieur civil des ponts et chaussées, expert reconnu des questions de mobilité après son passage chez Cofiroute et Vinci Autoroutes, auteur notamment de l’ouvrage Transports : les oubliés de la République (Eyrolles, 2022), publie le 11 janvier un ouvrage titré 40 idées reçues sur les transports.

Il déconstruit dans cet ouvrage ces idées reçues qui ont la vie dure, et propose des solutions pragmatiques et rapides à mettre en œuvre pour une meilleure politique des transports en France.

Il y prône notamment le développement du covoiturage, des parkings-relais, voies réservées pour les cars express, meilleure articulation des réseaux ferrés et routiers…

 

« Des solutions qui ont pour dénominateur commun d’être ancrées dans la réalité des pratiques et des besoins des Français, et de s’affranchir des dogmes qui inspirent le plus souvent les décideurs aujourd’hui. Des solutions qui replacent aussi au premier plan la nécessaire équité entre les citoyens en matière d’accès aux transports ».

Aux Editions Eyrolles, 256 pages, 20€.

TotalEnergies finalise sa transaction avec Alimentation Couche-Tard

TotalEnergies finalise sa transaction avec Alimentation Couche-Tard

TotalEnergies a annoncé le 3 janvier avoir conclu la mise en œuvre des accords signés en mars 2023 avec Alimentation Couche-Tard (Couche-Tard).

Cette transaction porte sur la scession des réseaux de stations-service de TotalEnergies en Allemagne et aux Pays-Bas, TotalEnergies a cédé l’intégralité de ses réseaux à Couche-Tard.

En Belgique et au Luxembourg, TotalEnergies et Couche-Tard se sont associés au sein d’une joint-venture (TotalEnergies 40%, Couche-Tard 60%).

La transaction, sur la base d’une valeur d’entreprise de 3,1 Mds€, a été finalisée en deux étapes, le 28 décembre 2023 avec la transaction relative au réseau en Allemagne et le 3 janvier 2024, avec les transactions relatives aux réseaux aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Belgique.

Urbanloop se déploie à St-Quentin

Urbanloop se déploie à St-Quentin

Le projet de capsules Urbanloop est en cours de déploiement à St-Quentin-en-Yvelines.

Dans le cadre des JO 2024 de Paris, l’agglomération de St-Quentin-en-Yvelines a souhaité qu’Urbanloop puisse bénéficier d’un terrain d’expérimentation pour son concept. C’est ainsi qu’une ligne longue de 2 kilomètres est en cours de déploiement au sein de la base de loisirs de l’agglomération, connectant un parking à la future Fan Zone des JO installée dans cette base.

Rappelons qu’Urbanloop se présente comme étant le transport le plus écologique du monde, avec une emprise au sol et une consommation énergétique très faible, puisqu’alimenté en très basse tension directement par un rail. Le principe est de fonctionner « comme un ascenseur », avec des cabines circulant sur pneu présentes en permanence dans les stations à disposition des voyageurs. Lorsqu’un passager se présente, il s’installe dans une cabine, appuie sur le bouton de sa station de destination et la capsule s’y rend sans arrêt, en s’insérant dans le trafic, grâce à l’électronique embarqué.

 

Les voies du système Urbanloop.

 

Si les essais durant les JO sont concluants, la ligne pourrait être prolongée vers la gare de St-Quentin et vers la zone d’activité du Mesnil. Si la vitesse maximale est annoncée à 50 km/h, il est légitime de se questionner sur le relatif poids-plume du véhicule (800 kg) et sa capacité à supporter les vibrations de la voie et les futurs passagers à bord (4 adultes au maximum).

Union européenne, accord sur les émissions

Union européenne, accord sur les émissions

Le 18 décembre, le Parlement européen et le Conseil sont parvenus à un accord provisoire sur de nouvelles règles visant à réduire les émissions des voitures, des camionnettes, des bus, des camions et des remorques.

Le règlement relatif à la réception par type de véhicules à moteur et à la surveillance du marché (Euro 7) vise à soutenir la transition vers une mobilité propre et à maintenir les prix des véhicules privés et commerciaux abordables pour les citoyens et les entreprises. Les véhicules devront se conformer aux nouvelles normes pendant une période plus longue, ce qui leur permettra de rester plus propres tout au long de leur cycle de vie.

Actualisation des plafonds d’émissions de gaz d’échappement

En ce qui concerne les voitures et les camionnettes, les négociateurs sont convenus de maintenir les conditions de test et les plafonds d’émissions actuelles de la norme Euro 6. À la demande du Parlement, le nombre de particules d’échappement sera mesuré au niveau PN10 (au lieu de PN23, ce qui permettra d’inclure également ainsi les particules plus fines).

Pour les bus et les camions, le texte de l’accord prévoit des plafonds plus stricts pour les émissions de gaz d’échappement mesurées en laboratoires (par exemple, limite de NOx de 200 mg/kWh) et dans des conditions de conduite réelles (limite de NOx de 260 mg/kWh), tout en maintenant les conditions de test actuelles Euro VI.

Moins d’émissions de particules provenant des pneus et des freins, augmentation de la durabilité des batteries

L’accord fixe des plafonds d’émissions de particules de freins (PM10) pour les voitures et les camionnettes (3 mg/km pour les véhicules entièrement électriques; 7 mg/km pour la plupart des moteurs à combustion interne, pour les véhicules hybrides électriques et à pile à combustible et 11 mg/km pour les camionnettes plus grandes à moteur à combustion interne). Il introduit également des exigences minimales de performance pour la durabilité des batteries dans les voitures électriques et hybrides (80 % jusqu’à cinq ans ou 100.000 km, 72 % jusqu’à huit ans ou 160.000 km) et les camionnettes (75 % jusqu’à cinq ans ou 100.000 km et 67 % jusqu’à huit ans ou 160.000 km).

Mieux informer les consommateurs

Le texte prévoit un passeport environnemental des véhicules, à prévoir pour chaque véhicule, contenant des informations sur ses performances environnementales au moment de l’immatriculation (telles que les plafonds d’émission de polluants, les émissions de CO2, la consommation de carburant et d’énergie électrique, l’autonomie électrique, la durabilité des batteries). Les utilisateurs de véhicules auront également accès à des informations à jour sur la consommation de carburant, l’état des batteries, les émissions de polluants et d’autres informations pertinentes générées par les systèmes et moniteurs embarqués. En outre, les constructeurs automobiles devront concevoir leurs véhicules de manière à empêcher la manipulation des systèmes de contrôle des émissions grâce à la numérisation de la surveillance des automobiles.

« Grâce à cet accord, nous avons réussi à trouver un équilibre entre les objectifs environnementaux et les intérêts vitaux des constructeurs, a déclaré le rapporteur du texte, Alexandre Vondra. L’objectif des négociations était de faire en sorte que les nouvelles petites voitures à moteur à combustion interne soient abordables pour les consommateurs nationaux et, dans le même temps, de permettre à l’industrie automobile de se préparer à la transformation globale attendue du secteur. L’Union européenne s’attaquera désormais également aux émissions provenant des freins et des pneus et veillera à une plus grande durabilité des batteries ».

Le Parlement et le Conseil doivent désormais approuver formellement l’accord avant qu’il puisse entrer en vigueur. Le règlement s’appliquera 30 mois après son entrée en vigueur pour les voitures et les camionnettes et 48 mois après son entrée en vigueur pour les bus, camions et remorques (pour les véhicules construits par des petits constructeurs, il s’appliquera à partir du 1er juillet 2030 pour les voitures et les camionnettes et à partir du 1er juillet 2031 pour les bus et les camions).

Sponsorisé. Bolloré Protection : mieux protéger ses dépôts de bus

Sponsorisé. Bolloré Protection : mieux protéger ses dépôts de bus

Experte en systèmes de sûreté et de sécurité depuis 50 ans, l’entreprise industrielle Bolloré Protection conçoit et fabrique des protections périmétriques pour tous types de sites, qu’ils soient industriels ou tertiaires. Idéal pour sécuriser les dépôts de bus, devenus la cible d’une nouvelle forme de délinquance…

 

L’entreprise Bolloré Protection propose une gamme de clôtures appelée Gard’Active, pour sécuriser les périmètres extérieurs. Brevetées et éprouvées, ces protections périmétriques équipent plus de 200 sites en France, dont de nombreux loueurs de voitures, concessions automobiles, dépôts de poids lourds et autres concessions de campings cars. « Le secteur des transports a toujours connu des sujets de vols de carburant, vol de pièces ou d’intrusion sur parc, reconnaît Vincent Surantyn, directeur commercial de Bolloré. Les clôtures classiques ne sont pas toujours suffisantes pour limiter le risque d’intrusion ou de sabotage ».

 

Fort de ce constat, l’entreprise a conçu et développé un système de clôture périmétrique constituée de plusieurs rangées de câblettes qui rendent la clôture détectrice.

 

Cette solution brevetée et conforme aux normes en vigueur, garantit une réduction des risques d’intrusions, de vols ou de sabotages au sein des infrastructures. En cas d’intrusion, elle déclenche une alarme et délivre un choc électrique répulsif et dissuasif.

 

Très concrètement, la clôture Gard’Active vient s’installer sur la clôture existante, ce qui permet une intégration esthétique et harmonieuse avec l’environnement. Couplée aux systèmes de sécurité existants (caméras, alarme anti-intrusion…), la clôture fonctionne H24 et 7J/7 afin de garantir une sécurité périmétrique continue.

 

Autre avantage : la pose de la clôture périmétrique ne nécessite pas de gros travaux. Le site reste protégé durant toute la durée de l’opération, puisque la clôture vient s’adosser à la barrière existante.

 

Bolloré Protection, au service de la sécurité depuis 50 ans.

 

En amont des projets Bolloré Protection effectue un audit de sécurité afin de déterminer le périmètre à protéger, avant d’assurer la pose, la maintenance ainsi que la formation des équipes en charge de la sécurité sur site.

 

En somme, la clôture périmétrique Bolloré Protection apparaît comme une solution efficiente pour limiter le vandalisme des dépôts de bus et d’autocars.

 

Un atout important en des temps où, comme l’indiquait récemment l’Autorité des transports (ART), la facture des émeutes urbaines du mois de juin 2023 s’est élevée à 20 M€ de dégâts pour les seuls transports publics de la région parisienne…

 

Contact Bolloré Protection : Vincent Suratyn – commercial@bollore.fr