Niort-La Rochelle, une nouvelle ligne de car express à la rentrée

Niort-La Rochelle, une nouvelle ligne de car express à la rentrée

Le 2 septembre prochain, et pour une période expérimentale de 2 ans, la nouvelle ligne de car express 140E permettra de relier Niort et La Rochelle en 1h25.

Elle offrira un accès direct, pour 2,50 €, aux pôles d’emploi des territoires périurbains de La Rochelle (ZA de Périgny) et de Niort (Centre hospitalier Sellier, Pôle Atlantique) avec, en milieu de parcours, un arrêt au parc-relais de Ferrières d’Aunis.

Cette ligne a été construite en complément de la ligne de car 140 La Rochelle-Courçon et de la ligne de train TER 14. Elle circulera d’ailleurs à des horaires en adéquation avec les déplacements domicile-travail et domicile-études.

Six allers-retours seront proposés du lundi au vendredi, matin et soir en heure de pointe, et ceci toute l’année.

Les autocars retenus pour ce service sont climatisés, disposent de ports USB, du wifi à bord et d’un service presse numérique gratuit avec une liseuse individuelle permettant aux voyageurs de travailler, lire ou se reposer confortablement grâce aux tablettes, reposes pieds et sièges inclinables.

 

Scania a vendu ses bijoux industriels polonais

Scania a vendu ses bijoux industriels polonais

Scania (comme son concurrent suédois Volvo, qui a depuis fermé son usine de Wroclaw) a annoncé l’année dernière une restructuration complète de son usine de Słupsk (Pologne), en y arrêtant notamment sa propre production d’autobus.

Dans ce contexte, la maison de vente aux enchères Surplex a organisé une vente du 13 au 15 août derniers, vente portant sur un total de 1150 lots.

Ces lots portaient sur des machines manuelles, des outils électriques, mais aussi des engins de levage, des plates-formes de travail, des machines à souder, des tours de soudage, des chariots élévateurs à fourche, etc.

 

 

Continental envisage de se scinder en deux

Continental envisage de se scinder en deux

La direction du groupe allemand Continental a annoncé début août qu‘elle étudiait la possibilité de scinder le groupe en deux entités, en donnant notamment plus de visibilité et d’indépendance à la division pneus et plastiques, la plus rentable du groupe à ce jour.

Comme la plupart des équipementiers automobiles, Continental pâtit des conséquences de la « transition électrique » imposée à marche forcée à ce secteur industriel, transition qui par ailleurs subit un ralentissement du marché.

Selon certains observateurs économiques, cette séparation pourrait également permettre à Continental d’introduire la partie approvisionnement automobile en Bourse.

 

Gaussin-Macnica-Mobility devient Navya Mobility

Gaussin-Macnica-Mobility devient Navya Mobility

Nippon Telegraph and Telephone West Corporation et Macnica Corporation sont convenus le 9 août dernier d’investir dans Gaussin Macnica Mobility SAS dans le but d’accélérer « la mise en œuvre des services de conduite autonome et de contribuer à la résolution des problèmes sociaux auxquels sont confrontées les collectivités locales« .

Selon l’accord, NTT West détiendra 29,15% de la société et Macnica 70,85%.

 

Navya Mobility (ex-Gama) compte plus de 120 ingénieurs spécialisés dans le développement de logiciels de conduite autonome de niveau 4 et dans la mise en œuvre et l’exploitation de véhicules.

 

Navya Mobility est un spécilaiste dans la vente de l’ARMA et de l’EVO, des autobus autonomes de 15 passagers pour les zones urbaines et suburbaines, avec plus de 200 unités vendues dans 26 pays à travers le monde.

 

En mai 2023, Macnica avait créé une coentreprise avec Gaussin SA, qui a acquis les actifs de Navya. En juin 2024, Macnica avait acquis toutes les actions ordinaires de Gaussin SA.

 

Ebusco à la peine

Ebusco à la peine

Ebusco a publié fin juillet ses résultats pour le premier semestre 2024, et le résultat net sur le semestre est négatif à hauteur de 64,7 M€ négatif (- 35,8 M€ sur la même période en 2023).

Ebusco négocie donc avec les banques et les actionnaires pour obtenir un financement supplémentaire et avec les fournisseurs pour des modalités de paiement.

L’entreprise a également évoqué d’autres risques, tels que l’insuffisance des financements nécessaires à la mise en œuvre du plan de réorganisation.

De fait, ces performances décevantes ont amené la direction d’Ebusco à retirer ses prévisions pour 2024 le 25 juin dernier, d’autant que des retards semblent s’accumuler dans l’usine néerlandaise de Deurne.